Ce court verset est extrait de l’histoire de l’arche par laquelle Noé, sa famille et des couples d’animaux furent sauvés du déluge. Il y est question de la porte qui fut fermée par Dieu Lui-même.

Ce détail montre à quel point, la souveraineté divine se manifeste dans cet épisode qu’est la destruction d’un monde ancien pour la création d’un monde nouveau.

Ailleurs l’Ecriture déclare que Jésus est « celui qui ouvre et personne ne pourra fermer, celui qui ferme et personne ne pourra ouvrir. » Apo. 3 : 7

Une porte est en train de se fermer : c’est celle d’une année qui se termine dans des conditions inédites, une année non seulement marquée par la pandémie à laquelle sont venus s’ajouter les autres problèmes habituels que chacun rencontre.

Une porte s’ouvre : c’est l’an nouveau. De quoi sera-t-il fait ? C’est là qu’il faut que nous nous souvenions que : « Dieu parle, et la chose arrive, il ordonne, et elle existe. » Psaume 33 : 9.

Au seuil de la nouvelle année, soyons à la fois reconnaissants et confiants.

Reconnaissants, parce que le Seigneur nous a gardés. Avec le prophète Samuel qui offrait un sacrifice, avant une bataille importante, nous pouvons déclarer : « Jusqu’ici l’Eternel nous a secourus. » 1 Samuel 7 : 12. A combien de difficultés connues avons-nous échappé… et à combien d’inconnues ? Que le Seigneur soit béni pour sa protection ! ‘Je dis à l’Eternel: «Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie!»’ Psaume 91 : 2

Confiants, parce que justement, Il ferme et Il ouvre. Il saura nous conseiller, nous guider, nous éclairer par le Saint-Esprit. Souvenons-nous de cette belle promesse : « Tes oreilles entendront dire derrière toi: «Voici le chemin à prendre, marchez-y!» Esaïe 30 : 21.

Au seuil de l’an neuf, ne regardons pas en arrière mais entrons résolument dans les nouvelles étapes de notre existence qui ne doit rien au hasard mais tout à la foi.

« …oubliant ce qui est derrière et me portant vers ce qui est devant, je cours vers le but pour remporter le prix de l’appel céleste de Dieu en Jésus-Christ. » Phil. 3 : 13-14. 

Bonne Année 2021 !

Robert Héris

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